Au cours de son voyage en Amérique latine, le pape François a des discours violents contre l'économie qui tue, et met en avant le catholicisme révolutionnaire. L'économie tue, c'est une évidence. La mondialisation économique et financière a remisé le pouvoir politique au rang des pouvoirs subalternes, et libéré les freins de la cupidité, laissant libre cours à l'appropriation des richesses par un nombre de plus en plus restreint d'individus.