Ce constat, tout le monde ou presque en est d'accord. A l'exception de Trump ou Jolsonaro !
Mais où sont les solutions?
La plus grande partie du monde n'a pas le niveau de développement des pays industrialisés. Au nom de quoi lui refuser de manger à sa faim, d'avoir des emplois et un pouvoir d'achat suffisants, d'avoir accès aux soins médicaux. Au nom de quoi lui refuser l'accès aux biens qui simplifient la vie des pays riches, automobile, produits életro-ménagers, médicaments, habitat de qualité ?
Comme on l'a vu, l'économie est mondialisée, pour le meilleur et pour le pire.
Le pire, c'est la compétition internationale, qui oblige à la compétitivité, qui passe par la productivité, la robotisation, l'automatisation, l'épuisement des ressources naturelles, la dégradation de l'environnement, la surconsommation. L'homme a été transformé en homo economicus, dont la première qualité doit être de consommer de plus en plus.
Le meilleur, c'est le contact entre les hommes, politique, commercial, touristique. Un pas décisif vers ce qui pourrait être un jour l'apparition du sentiment d'appartenir non à une tribu, religion, ville, nation, mais à la planète Terre.
Les frontières se sont ouvertes, démodant jusqu'à ces dernières années le protectionisme et le nationalisme, qui débouchent toujours sur la guerre.