Et la vision présidentielle dans tout ça ? Balayée! Obsolète !
A tort ou à raison, personne ne croit plus guère en la mondialisation heureuse. Si elle l'a été pour les pays à bas coûts, elle a détruit des milliers d'entreprises et d'emplois en Europe, causant désenchantement, désespoir, dépendance, et aussi pollution dans des pays longtemps peu soucieux d'environnement.
Pendant tout ce temps, le président a géré les crises, avec quelques sucès, au moins à court terme. L'Histoire établira le jugement défintif.
Mais le "quoiqu'il en coûte" était loin d'être dans le logiciel de départ du président, non plus que les questions salariales aujourd'hui au premier rang des préoccupations des français.
La réalité s'est imposée au rêve, comme elle s'imposera à tous les futurs présidents. Tous les cinq ans, les candidats se défoulent dans un flot de promesses censées changer le monde dans le sens de leurs visions.
Pour à la fin, gérer les crises.