Dernières escapades

Dernières humeurs

 

Mes escapades, par thèmes

 

Toutes les actualités

Dans Humeurs

La peur de Monsieur Gattaz

Le 03/11/2015

"Le CDI tel qu'il est fait, est très inquiétant, très anxiogène. Il faut absolument faire (en sorte) que ce CDI soit beaucoup plus sécurisé", dixit le patron des patrons. Il s'y connait, lui qui est né patron, merci papa, et même patron de patrons. 

Dans Humeurs

Quand la démocratie est désespérante

Le 01/11/2015

Palais erdogan
Quelqu'un a dit un jour que la démocratie était le moins pire des régimes. Quand on voit le résultat des élections en Turquie, on ne peut qu'être affigé, terriblement.
 

Dans Humeurs

La faute au capitalisme

Le 31/10/2015

Boulem sansal
Il y a quelques années, on pouvait croire que la civilisation gagnerait le monde entier, éliminant les fanatismes et les superstitions, qu'ils soient d'origine religieuse, philosophiques ou autres. La suppression des frontières, des distances, le nivellement des modes de vie et des cultures, promettaient le triomphe de la raison et de la tolérance. Grave erreur. 

Dans Humeurs

Thomas Fabius ou les failles de la justice

Le 30/10/2015

Thomas fabius
Il a de belles voitures, adore l'argent, s'achète des très beaux appartements avec de l'argent venu d'on ne sait où, est joueur de casino invétéré, ne craint pas de faire des faux, a un papa riche et puissant. C'est bien sûr Thomas Fabius

Dans Humeurs

Apple, les excès du capitalisme illustrés

Le 28/10/2015

Apple logo
Apple va bien, merci pour lui. Onze milliards de dollars de bénefices nets, +31% par rapport à 2014, 52 milliards de dollars de chiffre d'affaires, + 22%, 206 milliards de trésorerie, de quoi s'acheter toutes les entreprises du monde.
Les grincheux pourront tout juste regarder la partie vide du verre.

Dans Humeurs

Quoi, après le tournant

Le 26/10/2015

Chomsky
Depuis une bonne décennie, on assiste, impuissants, à un lent travail de démolition des acquis sociaux, fruit de luttes sociales souvent dures en face de patrons qui ont fait de la résistance. La main d'oeuvre n'était pas si nombreuse, surtout après les désastres des deux guerres, les syndicats plus puissants et craints qu'aujourd'hui, et on croyait encore au progrès et à l'amélioration des conditions de vie qu'il allait apporter.